Délibération :
Intervention :
Je comprends que les projets concoctés à l’intérieur de ces zones d’accélération pourront bénéficier de mécanismes financiers incitatifs. Nous pourrons alors disposer d’un catalogue d’opportunité même si au final ce sont probablement les aides financières qui contribueront à accélérer les investissements. Or de ce point de vue nous manquons furieusement d’information que ce soit dans le texte de cette délibération ou dans l’annexe. Quel budget sera consacré à ces projets, qui fera les arbitrages, quels seront les recours ?. Je note cependant avec soulagement qu’il sera possible d’envisager des projets en dehors de ces zones mais j’espère que cela ne signifiera pas l’exclusion de ces projets du mécanisme financier.   Â
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A propos de ces zones, je veux cependant évoquer ce soir une hypothèse de ressource qu’un certain nombre de municipalités exploite déjà , notamment dans le grand Est. En effet, nous avons près d’une cinquantaine d’édifices religieux sur la seule ville d’Angers avec, par exemple, 20 églises. Je forme donc l’espoir que ce potentiel ne sera pas oublié même si j’ai conscience qu’il pourrait y avoir quelques réticences à aborder ce sujet. Je fais cependant le pari que devant l’urgence climatique il sera possible de trouver des consensus. Â
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Dans l’annexe à cette délibération vous dévoilez l’existence d’un organisme spécifique dédié à cette tâche. J’ai donc l’espoir que les membres de cet organisme sauront trouver les financements et les consensus. Je ne peux ici qu’espérer car j’observe qu’une fois de plus la minorité sera exclue de ce nouveau centre de décision.Â
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