La précarité et la pauvreté s’aggravent dans notre pays et dans notre ville : en France ce sont 2 millions de personnes qui vivent avec moins de 660 € par mois. La jeunesse n’est pas épargnée, 1 jeune sur 4 dit ne pas manger à sa faim, les étudiants contraints d’avoir recours à une aide alimentaire sont de plus en plus nombreux.
La distribution alimentaire a augmenté de 23,3% en un an.
Face à cette situation, toutes les associations contribuant à l'aide alimentaire ont redoublé d’efforts pour assurer la continuité de leur activité.
Le nombre de bénéficiaires de leur action, plus nécessaire que jamais, est en hausse.
Une demande croissante, mais une inflation qui affecte le prix des denrées.
Il est urgent que la ville se mobilise contre la pauvreté aux cotés de ces associations, en débloquant un fonds exceptionnel, pour que la pérennité de leur implication ne soit pas remise en cause et pour leur donner les moyens de faire face à l’inflation.
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